Erreur de conjugaison, de grammaire, d’accord, de construction, elles perturbent l’écriture et peuvent rendre un texte complètement incohérent et incompréhensible. Personne n’est à l’abri d’en faire, mais chacun doit essayer de se corriger.
Les fautes d’orthographe ne sont pas une fatalité. L’apprentissage de l’orthographe se fait à l’école, mais il arrive que l’on ait beaucoup de difficultés à l’assimiler tant son domaine d’application est vaste et les pièges nombreux.
Il faut en apprendre les règles de base, se les répéter, les appliquer, ce qui n’empêche pas, quelquefois de tomber sur un mot particulièrement retord, inconnu, compliqué ou de rater par inattention l’accord d’un verbe, d’un adjectif.
Comme en toute chose, les meilleurs résultats sont obtenus par l’entraînement, écrire, rédiger, se corriger, recommencer. Il faut être vigilant pour les éviter, mais la vigilance doit s’associer à un certain savoir de la langue française.
Lorsque l’on produit du contenu web ou des écrits destinés à être lu, il est indispensable de le transmettre au lecteur sans faute d’orthographe sous peine d’en gâcher l’intérêt.
Heureusement de nombreux outils sont disponibles sur le Web, des dictionnaires, des correcteurs d’orthographe, des analyseurs de textes. Certains sites allient toutes les performances pour rendre un document exempt de fautes de syntaxe, orthographe, ponctuation, conjugaison.
Les meilleurs correcteurs scannent le texte, proposent des corrections et des suggestions. C’est pourquoi pour s’en servir efficacement, il faut aussi posséder quelques notions approfondies de français, sinon comment choisir. Leur potentialité est telle, qu’ils évitent aussi les répétitions, qu’ils offrent de mettre en ligne un document propre, clair, orthographié à la perfection.
Car il n’y a rien de pire que de se passionner pour un sujet, ou de rechercher des informations sur un autre, voire de copier-coller dans le cadre d’études, des paragraphes de textes truffés de fautes d’orthographe, sans s’en rendre compte, car l’on souffre soi-même de carences orthographiques et de lacunes en ce sens.
L’orthographe a ce pouvoir de donner une bonne ou une mauvaise impression sur celui qui a rédigé, ce qui peut paraître sectaire. Mais dans la pratique de la langue française, pas de quartier, les textes se doivent d’être parfaits ou de n’être pas.